Du Yoonu Yokkute au Xeyu ndaw ni : l’emploi des jeunes, une préoccupation majeure du Président Macky SALL ! (Par Ibrahima Baba SALL)

L’ossature du programme dénommé «Yoonu Yokkute» balisait déjà un véritable chemin du développement.
A travers ce programme bâti sur trois priorités : la jeunesse, les femmes, et le monde rural, il s’est agi pour le Président Macky Sall d’apporter une protection, des perspectives et des opportunités d’emploi déclinées autour de cinq (5) axes solidaires :
– Mettre fin aux injustices sociales ;
– Assurer les bases économiques du développement ;
– Atteindre une productivité développante ;
– Devenir un modèle de démocratie efficace ;
– Garantir la paix, la sécurité, la stabilité et œuvrer pour l’intégration africaine.
Aujourd’hui après douze ans passés à la tête de l’Etat, et avec le Yoonu Yokkuté devenu Plan Sénégal Emergent (PSE), le bilan du Président Macky Sall est plus qu’élogieux.
Sur le plan social, une intense politique de protection sociale universelle avec les Bourses de Sécurité Familiale, la Couverture Maladie Universelle, la carte d’égalité des chances et la Bonification Retraite ont permis de faire des avancées notables avec des résultats probants dans la lutte contre la pauvreté.
Sur le plan économique, notre croissance a fait un bond considérable en passant de 2 à 4% malgré l’impact négatif de la COVID-19.
Sur la problématique de l’emploi des jeunes, le Président avait promis 500 000 emplois qui ne sont pas loin d’être atteints avec les nombreux mécanismes mis en place à travers une politique cohérente d’emploi et d’entrepreneuriat des jeunes et des femmes.
A ce titre, il est à noter que l’Etat du Sénégal a favorisé beaucoup d’initiatives dans ce sens, comme la création de :
–    la Délégation générale à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER), mise en place par le Chef de l’Etat pour apporter des solutions à l’emploi des jeunes et des femmes, ou encore le Programme d’Urgence pour l’Emploi et l’Insertion socioéconomique des Jeunes « Xeyu Ndaw Yi »  piloté par le ministère de la Jeunesse et dont la priorités est l’emploi et l’insertion socioéconomique des jeunes ;
–    le Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (le 3FPT), auquel sont  versées les ressources tirées de la Contribution Forfaitaire à la Charge de l’Employeur, soit plus de 20 milliards de fcfa par an pour soutenir la formation aux métiers ;
–    l’Agence nationale pour l’Emploi des Jeunes : ANPEJ ;
–    le Fonds national de la Microfinance;
–    l’ADPME ;
–    le Programme Formation École-Entreprise;
–    les Centres de Formation professionnelle et technique, en raison d’un Centre au moins dans chaque Département, et dont 15 vont démarrer cette année;
–    le Programme sénégalais pour l’Entrepreneuriat des Jeunes;
–     le Programme des Domaines Agricoles Communautaires : PRODAC ;
–    l’Agence nationale d’Insertion et de Développement agricole : ANIDA ;
–     la Convention Etat-Employeurs, dont le champ d’action sera élargi à la filière de l’agriculture et de l’agro business, afin de soutenir nos efforts d’autosuffisance alimentaire et de transformation des produits locaux, entre autres projets ou programmes.

Cette problématique de l’emploi des jeunes connait aujourd’hui des avancées notables avec la prise en charge des abandons précoces à l’école, le renforcement du le lien entre l’éducation et la formation et le marché du travail et, partant, à l’amélioration de l’employabilité des jeunes et des femmes défavorisés. Pour ce faire, il faudra promouvoir l’accès à une éducation de qualité qui apporte aux jeunes non seulement des compétences techniques et professionnelles, mais également des compétences fondamentales pour l’employabilité.
 
Ces compétences techniques et professionnelles permettent d’embrasser tous les domaines d’activités : agriculture, élevage, pêche, sport, santé, culture, tourisme, environnement, hygiène publique…
 
D’où la pertinence de dérouler ces formations dans beaucoup de départements du pays à travers les 32 centres départementaux d’enseignement professionnel qui forment des compétences dans divers métiers.
 
Dans son adresse à la Nation du 03 avril dernier, le Président Macky Sall a rappelé avec force que la jeunesse restait au cœur de ses préoccupations.
 
Il a mis en place les projets et programmes qu’il faut pour lutter contre le chômage et promouvoir l’emploi et l’employabilité des jeunes et des femmes.
 
Tout ce qui reste ce sont des hommes et des femmes engagés pour la mise en œuvre de la politique définie par le Chef de l’Etat.
 
Mais déjà il y a des personnes qui se distinguent dans la poursuite du sillon tracé par le Président Macky Sall. Il s’agit du Directeur de l’Emploi, Monsieur Modou Fall qui est en train de faire le tour du pays pour assister les demandeurs d’emploi en leur facilitant la collecte et la diffusion de l’information sur le marché de l’emploi.
 
Il montre vraiment la voie par son engagement et sa volonté de voir se réaliser les projets du Chef de l’Etat.
Il est suivi en cela par le Cadre de vie et l’UCG qui, en un record, ont fait d’importantes réalisations en termes de créations d’emplois.
 
Avec l’exploitation du pétrole et du gaz au courant de cette année 2023 qui va davantage faciliter l’industrialisation de notre pays, les problèmes de chômage et de pauvreté seront bientôt un mauvais souvenir pour nos populations, particulièrement nos jeunes sur qui le président Macky Sall fonde un grand espoir pour la concrétisation de notre émergence.
 
Ces jeunes doivent prendre conscience de l’impératif catégorique qu’il y a à accompagner le Président Macky Sall pour l’édification du Sénégal de nos rêves qui s’enracine déjà dans nos réalités quotidiennes.
 
C’est le combat de tout un peuple qui, uni comme un seul homme, doit se lever et barrer la voie à ces fossoyeurs de la République qui parlent plus qu’ils ne travaillent, contrairement au Président Macky Sall qui lui s’est inscrit dans le temps de l’action pour une émergence du Sénégal avant 2035.
 
Les responsables doivent être à la pointe de ce combat et s’investir entièrement à la base pour démultiplier les bonnes actions du Président qui ne peut pas être partout.
Taisons nos divergences, faisons fi de nos egos, car seul l’élection du Président Macky Sall au soir du 25 février 2024 compte. Tout le reste n’est qu’accessoire.
Unis, nous serons forts, divisés, nous serons vulnérables.
 
Ibrahima baba SALL
Député maire de Bakel

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